Photos
Festival “Même pas peur de la nature !”
Stage “À la découvertes des Plantes Sauvages Comestibles et leur gastronomie” – session de avril 2016
-
-
Mais… qu’est-ce que c’est que ça ?..
-
-
Eh bien oui, certaines feuilles d’arbres se mangent aussi, et c’est très bon !
-
-
… et qu’en plus, elles sont abondantes…
-
-
La joie de découvrir que les jeunes pousses de fougères-aigles se mangent…
-
-
… donc la cueillette est rapide et facile pour un gros repas.
-
-
Il n’y a pas d’âge pour s’initier aux plantes sauvages comestibles !
-
-
Non, l’appareil-photo ne se mange pas !
-
-
L’ail des ours… une merveille !
-
-
Les feuilles ont le goût de l’ail que vous connaissez…
-
-
… et les fleurs sont encore plus fortes.
-
-
À certains endroits, des parcelles entières de sous-bois en sont couvertes.
-
-
Les prairies sont également très abondantes. Il suffit de se pencher pour voir autre chose que “de l’herbe”.
-
-
Où vous pouvez voir les fougères-aigles cuisinées, à mi-chemin entre les asperges et les haricots verts… en bien plus fin !
-
-
-
La feta à l’ail des ours (et aux fleurs de lamier pourpre pour rajouter une petite touche sucrée).
-
-
En route pour le pesto !
-
-
-
-
Quand un apéro dînatoire est préparé par nos stagiaires afin d’accueillir les voisins pour une dégustation, voilà à quoi ça ressemble : quantité et qualité !
-
-
-
-
-
Le fameux vin blanc au lierre terrestre. Étrangement, la bouteille se vide très vite.
-
-
-
-
-
-
Parce que les plantes peuvent aussi faire de la musique…
-
-
… quelques tiges de renouée du Japon, et voilà une flûte de Pan bien accordée.
-
-
Photo-souvenir d’une très agréable soirée avec l’équipe de Connected by Nature, nos stagiaires et les voisins du stage venus déguster un apéro dînatoire sauvage.
Stage “À la découvertes des Plantes Sauvages Comestibles et leur gastronomie” – session de novembre 2015
-
-
C’est parti, suivez le guide !
-
-
Ce n’est pas une petite rosée qui nous arrêtera !
-
-
Ramassage de noix en abondance.
-
-
-
Rien de tel qu’une cueillette matinale pour profiter des premiers rayons de soleil et redonner le sourire.
-
-
Vous voyez cette plante là-bas ? Elle est belle, elle est bonne, et nous allons la cueillir.
-
-
Les soldes sont ouvertes : un supermarché à ciel ouvert s’offre à nous. Tout y est gratuit.
-
-
-
-
Les sous-bois sont le lieu par excellence de la cueillette automnale.
-
-
Cueillette solitaire…
-
-
… ou collective.
-
-
Et voilà ! Il était peu probable de ne pas tomber sur des champignons en automne.
-
-
Petit cours de reconnaissance des champignons en se focalisant sur quelques critères d’identification.
-
-
-
On ne dirait peut-être pas, mais vous avez là un véritable champ d’oseille sauvage.
-
-
En chemin, nous avons trouvé du mélilot, qui nous servira à parfumer nos desserts et nos infusions.
-
-
Rien de tel que l’observation rapprochée et la comparaison pour apprendre à différencier (et donc identifier clairement) les plantes sauvages comestibles.
-
-
Première étape de la préparation de galettes sèches : bien réussir sa pâte.
-
-
Deuxième étape de la préparation des galettes sèches : bien étaler pour une cuisson rapide.
-
-
Recette gauloise : cuisson des glands à plusieurs eaux (pour supprimer le tannin)
-
-
-
-
C’est parti pour la préparation du pesto !
-
-
Connaissez-vous le goût des fleurs de silène (celles qui peuvent servir de claque-doigts) ?
-
-
Pesto d’orties – avant
-
-
-
Les glands, cuits, puis bouillis et grillés, sont une vraie surprise.
-
-
Après les galettes sèches, passons aux galettes humides.
-
-
-
Les galettes humides de topinambour et de rumex acetosa (oseille) sont un régal !
-
-
Prenez et mangez… Miam !
-
-
-
-
-
Pesto d’orties – après
-
-
Et avec un peu de vin rouge, c’est encore mieux pour fêter l’automne !
Stage “À la découvertes des Plantes Sauvages Comestibles et leur gastronomie” – session de septembre 2015
-
-
François, notre maître botaniste-cuistot en pleine explication.
-
-
Repas collectif
-
-
Galettes, soupe, vin. Que demander de mieux ?
-
-
Une gastronomie méconnue vous sourit.
-
-
Petit retour théorique sur quelques points de botanique afin de savoir de quoi on parle, et ce que l’on nomme.
-
-
Maître botaniste s’assure tout de même que quelque toxique ne s’est pas glissée discrètement dans la récolte. Mais tout va bien, personne n’aura confondu carotte sauvage et grande cigüe.
-
-
Après deux jours de cours, il était temps de vérifier les acquis de chacun. Par groupe de deux, les stagiaires sont allés cueillir en autonomie toutes les plantes sauvages comestibles qu’ils ont reconnu. Au retour, l’abondance est là !
-
-
Vous seriez surpris-e par tout ce qui pousse sur nos trottoirs et se mange !
-
-
Pluie ou pas, il faut bien manger. Rien n’arrête notre quête de saveurs.
-
-
Quelques pétales de fleurs dans votre feta et c’est feu d’artifice. Rajoutez à ça un peu de coriandre sauvage, et c’est une explosion de saveurs.
-
-
Un doux parfum se dégage de cette soupe, non ?
-
-
Non, vous ne rêvez pas. Il s’agit bien d’un vin blanc parfumé au lierre terrestre. Un apéritif idéal.
-
-
François, en pleine explication.
-
-
L’approche des plantes sauvages passe aussi par les sens. Tous les sens.
-
-
On trie et on regroupe les plantes avant d’inventer les recettes qui iront avec la cueillette du jour.
-
-
Dites-le avec des fleurs.
-
-
Ramassage d’orties en quantité pour le repas de ce midi. On remarquera que les plus courageux le tentent sans gants.
-
-
On en profite pour découvrir quelques toxiques.
-
-
Des cours en plein air, n’est-ce pas ça, l’école buissonnière ?
-
-
BON APPÉTIT !!!
-
-
L’ortie : l’une des bases les plus abondantes, savoureuses et nutritives des sauvages comestibles.
-
-
Ambiance repas de fête.
-
-
Retour des courses ! C’était les soldes : tout était gratuit !
-
-
Une soupe d’ortie ? Non, de chénopode.
-
-
Avez-vous déjà goûté quelque chose d’aussi bon qu’un pesto de bourrache ?